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Surmenage au travail, burnout et TCA

par | Déc 13, 2023 | Blog, Santé | 0 commentaires

Hello tout le monde. Aujourd’hui, j’avais envie de vous parler de surmenage au travail, de burnout et de leur impact sur les troubles du comportement alimentaire.

Parce que non, les TCA ne se limitent pas à ce qu’il y a (ou pas, d’ailleurs) dans votre assiette mais ils s’étendent beaucoup plus largement dans votre vie. Comme je le dis souvent, ce ne sont pas des troubles alimentaires ; ce sont des troubles du comportement en lien avec l’alimentation. Mais votre comportement touche aussi tous les autres domaines de votre vie !

Je profite de cette introduction pour vous rappeler que mon programme T.C.A – Transforme tes Croyances en Armes® est encore en promo jusqu’au 31 décembre avec le code TEAMPODCAST. Je sais que la période des fêtes n’est pas toujours évidente à affronter quand on souffre d’un trouble du comportement alimentaire donc je souhaitais prolonger cette promo encore un peu. N’oubliez pas d’entrer le code TEAMPODCAST pour activer l’offre. En revanche, passé cette date, le programme retrouvera son prix normal donc dépêchez-vous si vous voulez vous faire ce cadeau (à vous-même ou l’offrir à quelqu’un) et commencer l’année 2024 sur de vraies bonnes résolutions qui vont changer votre vie !

Programme T.C.A

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Aujourd’hui, on va parler de surmenage et de burnout. Je vous rassure, je suis loin d’être une donneuse de leçons aujourd’hui et je dirais même que je pourrais faire de moi mon propre cas d’étude tellement le travail a pris une importance et un sens énorme dans ma vie, je pense même trop. L’idée est de vous aider à comprendre comment le fait de vous sentir submergée au boulot, ou au contraire d’avoir perdu le sens dans ce que vous faites – on parle aussi de brown-out -, vous pousse à ne plus vous écouter dans votre alimentation, et souvent à trop manger.

Votre boulot impacte-t-il votre alimentation ?

Tout d’abord, j’aimerais vous poser une question importante : êtes-vous heureuse de vous lever le matin pour aller travailler ? Ou bien y allez-vous la boule au ventre ? C’est déjà un premier indicateur clair et évident pour savoir si, oui ou non, vous vous sentez à l’aise dans votre travail. Si d’ores et déjà, vous me répondez que vous êtes inconfortable à l’idée d’aller bosser, il y a fort à parier que vous alliez chercher du réconfort dans la nourriture !

Déjà, pour être sûre que tout le monde comprenne bien chacun des termes que je vais être susceptible d’employer, je vous rappelle quelques définitions :

  • Surmenage au travail : il survient à la suite d’efforts intenses et résulte en général d’un stress vécu à long terme. Ce stress peut découler d’une pression hiérarchique, d’un management inadapté  ou d’objectifs de résultats inatteignables. À terme, il peut mener au burnout.
  • Burnout : syndrome d’épuisement professionnel qui se caractérise par une fatigue à la fois physique et psychique intense. En général, il est causé par un surinvestissement ou un surmenage au travail et, une fois présent, il génère un sentiment d’impuissance et de perte d’espoir chez la personne.
  • Bore-out : syndrome d’épuisement professionnel qui, cette fois-ci, est dû à l’ennui provoqué par le manque de travail ou l’exécution de tâches intéressantes. Cela engendre une perte de motivation, une dévalorisation de soi et par conséquent, une fatigue physique et psychique.
  • Brown-out : aussi appelé la “démission intérieure”, c’est un autre type de syndrome d’épuisement professionnel qui est associé à la perte de sens dans son travail.

Encore une fois, je vous rappelle une chose fondamentale : c’est que vous ne vous jetez pas sur la bouffe à cause du boulot. Ce n’est pas le boulot le coupable. Vous vous jetez sur la bouffe parce que c’est votre façon de réagir face à la montagne de travail qui vous attend, face à votre to-do list sans fin ou face au manque de sens dans ce que vous faites auquel vous êtes confrontée tous les matins au réveil.

Stress au travail : le coupable qui vous pousse à trop manger !

Aujourd’hui, votre boulot peut vous stresser de 1001 manières. Ce n’est pas parce que vous n’avez pas un poste de cadre à haute responsabilité que vous n’êtes pas légitime de ressentir de la pression au travail ! Parce qu’il y a quelque chose dont il faut prendre conscience, comme me dit souvent Fred – mon conjoint : “la pression, c’est toi qui te la mets”. Donc peu importe votre travail ou votre statut social, vous pouvez être stressée et cela s’entend tout à fait !

Effectivement, le stress peut être relié à vos multiples responsabilités. C’est d’ailleurs un cas souvent retrouvé. Mais le stress, c’est aussi la contrainte des horaires : arriver à l’heure, ne pas repartir trop tôt, ne pas prendre une trop longue pause déjeuner, rester connectée sur Slack si vous êtes en télétravail. Le stress, cela peut être aussi s’habiller chic, être élégante, bien paraître, bien parler, ne pas trop dire ce qu’on pense parce qu’une fois encore, cela démontre votre statut social, votre place dans la hiérarchie de l’entreprise et donc votre importance aux yeux des autres.

Dans le cadre de mon programme T.C.A, le programme que j’ai créé pour vous aider à vous libérer des troubles du comportement alimentaire, j’ai rencontré des femmes qui – pour ne pas contredire leur supérieur hiérarchique – se sont retenues de dire ce qu’elles pensaient, quitte à aller à l’encontre de leurs valeurs. Ce sont typiquement des femmes qui ont rejoint mon programme pour apprendre à s’affirmer, oser dire non, prendre la parole au risque de décevoir pour, à la fin, se choisir et arrêter de se jeter sur la nourriture une fois rentrées chez elles. Évidemment, cela fait partie des thématiques sur lesquelles on travaille dans mon programme.

Le stress au travail peut aussi être dû à la pression marketing. Une boîte doit faire de l’argent. Sinon, elle n’existe plus. Donc si vous travaillez dans un pôle marketing et que les chiffres sont en baisse, vous pourriez ressentir un petit coup de pression ! Après, à vous de voir comment vous réagissez face à cette pression. Est-ce qu’elle vous stimule ? Ou, au contraire, est-ce qu’elle dissout votre énergie ? 

Et puis, bien souvent, on est stressé au travail parce qu’on vit dans une société qui nous impose des rythmes effrénés, qui nous force à courir après l’argent parce que tout devient plus cher de partout et qu’il faut bien se nourrir. Cela nous reconnecte à nos besoins primitifs de survie – qui est le mode de fonctionnement inné de l’être humain – sauf qu’en mode survie, à l’usure, on finit par se vider complètement de notre énergie. C’est la raison pour laquelle les gens qui sont chroniquement fatigués vont plus manger par émotion (surtout des choses très sucrées ou très salées). C’est pour se donner du courage, pour essayer de se rebooster et, en même temps, de se détendre un peu !

Quand on a compris tout cela, on a compris que, même si on a un travail bien payé, on peut facilement se retrouver enfermé dans une cage dorée, ou une cage confortable, qui est source de stress au quotidien.

Résultat, ce qu’il se passe, c’est que quand vous rentrez chez vous vers 17-18h, vous relâchez enfin toute la pression que vous avez accumulée pendant la journée, vous ouvrez grand votre frigo et vous mangez pour vous apaiser.

En médecine chinoise, 17-18h, c’est aussi une heure particulière reliée à l’énergie des Reins. Les Reins, c’est votre centre énergétique selon la médecine chinoise, c’est votre batterie, c’est le centre de votre santé, de votre vitalité et de votre longévité. Si votre batterie des Reins est faible, alors vous allez d’autant plus le ressentir pendant cette période vers 17-18h en raison de votre fragilité présente. Pour vous donner du courage et tenter de remonter votre énergie, vous allez manger. À l’inverse, quelqu’un qui a une batterie des Reins bien rechargée ne ressentira pas le besoin de manger sans faim ! Si cela vous arrive, c’est donc que vous êtes clairement fatiguée et qu’il est temps de vous reposer vraiment. Ce n’est pas le moment de manger, mais de prendre du temps pour vous ! On y reviendra.

Enfin, il y a une autre raison plus d’ordre physiologique qui vous pousse souvent à trop manger. C’est-à-dire que sur le plan hormonal, chaque fois que vous ressentez un stress ou toute autre forme de pression, votre corps – et plus précisément ce qu’on appelle les glandes surrénales – vont sécréter du cortisol. Le cortisol, on l’appelle aussi “l’hormone du stress” et c’est une hormone qui a pour rôle de vous aider à faire face aux situations de stress. C’est typiquement que vous allez sécréter massivement quand vous êtes dans une situation de “fight or flight” (la lutte ou la fuite). Sauf qu’en cas de stress chronique, vous allez sécréter du cortisol de manière continue… et je vais vous expliquer pourquoi c’est un problème !

C’est un problème parce que le cortisol, pour vous aider à faire face à une situation de stress, va libérer du glucose dans la circulation sanguine pour vous apporter l’énergie nécessaire pour vous battre. Évidemment, c’est hyper utile si vous êtes sur le point de rater votre train et que vous devez courir très vite pour l’avoir à temps (ça m’est arrivé l’année dernière !). À ce moment-là, vos réserves de glucose vont être libérées pour vous donner un maximum afin que vous sautiez dans le train avant que les portes ne se ferment. Là où c’est un problème, c’est qu’aujourd’hui, généralement, la situation du train se produit partout, et surtout au boulot. Le train qui va fermer ses portes, c’est aussi ce projet qu’il faut absolument rendre à l’heure, ces chiffres qu’il faut atteindre avant la fin de l’année, c’est les horaires d’arrivée et de départ qu’il faut impérativement respecter sous peine de subir le regard et le jugement des collègues, c’est aussi votre tendance au perfectionnisme qui vous pousse à donner toujours plus – peut-être par besoin d’obtenir une certaine reconnaissance, mais du coup, sans écouter vos besoins à vous, etc. Et le cortisol, il faut le savoir, c’est une hormone qui vous fait stocker – au même titre que l’insuline par exemple – c’est une hormone qui, en excès, vous fait prendre du poids et engendre un phénomène de stockage, notamment au niveau du ventre. Tout ce qu’on déteste, n’est-ce pas !

On a parlé du cortisol mais il y a une dernière chose au niveau hormonal qui peut vous pousser à trop manger : c’est la libération de neurotransmetteurs. Je m’explique. Chaque fois que vous mangez un aliment plaisant (souvent un produit sucré comme des biscuits ou du chocolat, mais cela peut aussi être un produit gras et très salé comme des chips) qui satisfait vos papilles, votre cerveau libère de la dopamine. La dopamine, c’est l’hormone du plaisir, de la satisfaction, de la récompense et c’est un neurotransmetteur qui globalement nous procure du bien-être et de la détente. C’est exactement ce même transmetteur qui est sécrété chez les personnes fumeuses ou les personnes qui se droguent. À ce moment-là, quand vous consommez une substance (aliment, cigarette, drogue), il s’opère alors tout un circuit dans le cerveau qui fait que : d’une part, vous libérez de la dopamine et d’autre part, vous inhibez sa recapture. C’est ce circuit qui vous procure un shot de bien-être et de relâchement instantané, c’est comme si le monde autour de vous n’existait plus et que vous étiez dans votre bulle de bien-être.

On fait beaucoup de prévention par rapport aux addictions et à ce circuit de la dopamine qui est en lien direct avec, mais on a du mal encore à considérer la nourriture comme pouvant faire partie de ces substances addictives. Pourtant, c’est exactement ce qu’il se passe chez les boulimiques ou hyperphagiques ! Ce sont des personnes qui sont accro au fait de manger et qui ont besoin de toujours plus. Parce qu’il faut le dire, ce circuit de la dopamine, plus vous le stimulez, plus il devient résistant aux substances qui le stimulent. C’est-à-dire qu’à terme, pour la même quantité de substance addictive, il y aura moins de dopamine qui va être libérée, donc moins de sensation de bien-être en termes de ressenti. Il vous faut encore plus de nourriture, encore plus de plaisir, pour libérer encore plus de dopamine et ressentir les mêmes effets ! J’aime bien la métaphore du médecin psychiatre Roger Gould qui à écrit le livre Dites non à l’alimentation de consolation. Il parle dans son livre de la nourriture comme étant un calmant vendu partout sans ordonnance, et je trouve cette métaphore tellement parlante que cela montre à quel point on peut dériver dans des comportements addictifs avec la nourriture !

Comment arrêter de craquer sur la nourriture après le travail ?

Maintenant que je vous ai parlé des grandes causes qui vous poussent à trop manger, généralement des produits malsains, on va passer aux pistes, aux solutions que vous pouvez mettre en place. La solution, vous vous en doutez, elle ne se trouve pas directement dans votre assiette. Cela va être d’adresser chacune de ces causes qu’on a vues ensemble, une à une, pour arrêter d’en subir les conséquences.

La communication au travail

Il est hors de question que vous alliez systématiquement à l’encontre de vos valeurs profondes et que vous ne sachiez pas vous faire entendre. Ce n’est pas une question de hiérarchie, tout le monde a le droit de s’exprimer. Je ne dis pas qu’il ne faut pas faire des concessions parfois, mais si vous reniez systématiquement vos valeurs, alors il y a un problème c’est sans doute que vous n’êtes pas à la bonne place. Il faut se poser les bonnes questions et peut-être faire des choix. Je ne vous dis pas de quitter votre boîte demain ! Mais apprenez à vous prioriser.

Travailler votre détachement

Vous faites un job, vous n’êtes pas votre job. C’est une erreur qu’on a plutôt tendance à faire quand, justement, on adore son travail ! Par exemple, pour me confier un peu à vous, je considère personnellement que je dois œuvrer là-dessus car mon travail porte tellement de sens à mes yeux que je lui accorde une importance beaucoup trop élevée. Je sais que je travaille trop et que mon énergie est fragile et que je la consume rapidement.

Ce n’est pas évident à gérer parce que j’ai pris la décision d’incarner ma boîte ! Mon travail, c’est moi, c’est mon vécu, c’est mes réussites, mes échecs, c’est une partie de mon histoire. Pour autant, à trop vouloir incarner mon job, j’ai fini – à un moment – par me faire bouffer par mon job. À tel point que je me suis posée la question “Je suis qui sans mon job ? Qu’est-ce que j’aime à côté de mon job ?” et je vous assure que j’ai galéré à trouver des réponses qui résonnent justes, tellement mon quotidien tourne 7j/7 autour de mon travail ! Travaillez votre détachement par rapport à votre travail, c’est une prise de conscience qui commence à faire son bout de chemin chez moi, et je le vois, cela me fait du bien.

Retrouver votre pourquoi

Rappelez-vous quelles sont vos valeurs. Pourquoi avez-vous choisi ce travail ? Quelle était votre motivation au départ ? Qu’est-ce que votre travail vous apporte aujourd’hui, autre que de l’argent ? Je vous disais juste du danger que cela représente quand le travail prend le pas sur la vie privée et finalement tout le reste, mais c’est important quand même de trouver un certain sens à ce que vous faites ! L’être humain a besoin de se sentir utile, de faire quelque chose qui a du sens.

Et faire quelque chose qui a du sens, ce n’est pas forcément faire quelque chose qui aide les autres. Je le vois autour de moi, vous pouvez avoir un travail lambda et, par votre simple bonne humeur, répandre la lumière autour de vous et apporter de la joie à chaque personne, à chaque collègue, à chaque client que vous croisez. On a tous connu dans une boîte ce collègue qui est tout le temps, peu importe les circonstances, et sans lui – l’ambiance au travail serait bien triste ! Ce que je veux dire par-là, c’est qu’il est quand même important de savoir pourquoi vous vous levez le matin et qu’est-ce qui vous fait du bien dans votre journée. Si vous avez de la gratitude pour chaque journée passée au travail, vous n’aurez plus besoin de compenser un manque ou une frustration quand vous rentrez chez vous !

Prendre du temps pour vous

Quand vous rentrez à la maison, je vous invite à vous poser, à vous étirer un peu (surtout si vous étiez toute la journée assise à un bureau !), à cuisiner en conscience pour atténuer la libération de cortisol qui, on l’a vu, tend à vous faire prendre du poids quand vous le sécrétez chroniquement.

Sortir du perfectionnisme

Certaines personnes ont besoin d’être une employée modèle, peut-être que vous en faites partie. Quitte à aller à l’encontre de vos valeurs, vous allez dire oui et vous soumettre à l’autorité. Sauf qu’à chaque fois que vous allez à l’encontre de ce que vous voulez vraiment, vous créez une carence à l’intérieur de vous. Vous créez un vide, une déconnexion vis-à-vis de vous-même et c’est pour remplir ce vide (que vous avez vous-même créé, cela dit en passant !) que vous allez vous jeter sur votre frigo le soir en rentrant du boulot.

Quand tu ne sais pas t’écouter au boulot, tu ne sais pas t’écouter dans la bouffe. Quand tu ne sais pas t’écouter, tu ne sais pas t’écouter. Peu importe le domaine de ta vie, quand tu n’écoutes pas, cela se passe généralement dans tous les domaines de ta vie (à différents degrés peut-être, mais c’est le cas). Ce qui fait que non seulement vous ne vous écoutez pas dans la bouffe mais surtout, vous êtes les candidates parfaites au burnout !

Donc quand on accepte qu’on n’est pas parfaite, qu’on ne nous demande pas d’être parfaite et qu’on n’a même pas besoin d’être parfaite pour être la bonne personne pour ce poste, on commence à foutre un peu la paix et à relâcher la pression.

Voilà ce que j’avais envie de vous dire aujourd’hui sur le surmenage au travail, le burnout et le lien avec votre comportement alimentaire. J’espère que vous avez appris des choses, peut-être pris conscience de certains comportements que vous avez et enfin, que vous allez mettre en place des solutions pour ne plus subir votre alimentation.

Si vous êtes en quête de cet alignement intérieur, qui se reflète évidemment dans votre comportement alimentaire mais aussi dans tous les autres domaines de votre vie, vous pouvez rejoindre gratuitement ma mini-formation 5 jours pour faire la paix avec votre assiette.

Et si vous souhaitez aller plus loin et sauter le pas pour travailler à mes côtés et changer votre vie une bonne fois pour toutes, il est encore temps de rejoindre mon programme signature T.C.A – Transforme tes Croyances en Armes®. Il y a une promo de 100€ sur le programme actuellement et c’est jusqu’au 31 décembre ! Donc si le programme vous intéresse et si vous sentez qu’il est temps d’en finir et de tendre vers une vie joyeuse, inspirante et lumineuse, je vous invite vraiment à profiter des 100€ de remise grâce au code TEAMPODCAST. J’espère de tout cœur que vous passerez à l’action et je vous assure que des changements incroyables vous attendent au sein de ce programme.

Je vous souhaite à toutes une très belle semaine, prenez bien soin de vous.

Programme T.C.A

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Claire Poncet

Diététicienne-nutritionniste, professeure de yoga et créatrice de contenus digitaux, je vous accompagne vers une relation plus saine et sereine avec votre corps.